Nathaniel qui était arrivé à Oto depuis peu, ouvris violemment la porte, surprenant le Kage dans une activité farniente. Il refermat le battant derrière lui, et dit au jeune éphébe lisant son livre, d'un air sarcastique:
"Pardonnez moi de vous déranger en plein travail..."
Il tirat une chaise qui était devant le bureau, et s'assie à califourchon, le dossier devant lui, ses bras posé dessus, sa tête sur ses bras.
"Voilà, j'aurais besoin de loger ici, dans votre village, mais je n'ai pas envie d'être vu, vous me suivez ? C'est pourquoi je ne peux pas me permettre de rester en compagnie des villageois, ce serait vraiment...malsain pour eux."
Il se mit debout, sorti un parchemin de sa poche, le déroulat et dit à haute voix:
"Je cite: 'Je, psychiatre Flinkestein, déclare par la présente que le sujet Nathaniel Von Croft, atteint de schizophrénie pseudo-psychopathique, doit être mis au arrêt dans les plus bref délai, dans un quartier résidentiel de haute sécurité, ou, dans un hôpital psychiatrique si le quartier en question le permet. De plus, le sujet ne dois avoir aucun contact avec le monde extérieur, ni avec aucune forme de vie que se sois, sauf médecin traitant ou infirmier. Ces derniers devront être munis d'arme, afin d'écarter toute éventualité agressive du patient. Enfin, la réinsertion du sujet dans la vie social pourrait être envisagé, si et seulement si celui-çi fais acte de non-violence et d'humanité pendant plus d'une année.' "
Nathaniel, après avoir baillé longuement, roulat en boule le parchemin, et le jeta par dessus son épaule, atterissant dans une corbeille à papier.
"Voyez vous, je n'aime pas les prison et encore moins les hôpitaux. Mais, à l'instar de ce que dit l'ordonnance, je peut très bien être passif, à condition d'être très bien entouré."
Il bondit sur la table, s'accroupit et se penchat en direction du Kage.
"Cela pourrait être ma réinsertion, non ? Comme je vous l'ai dit, si je suis bien entouré, c'est à dire d'être plus fort que moi, je suis passif, je suis trop intelligent pour être agressif envers plus puissant. Et j'ai entendu dire que, vous, vous vous distinguez de la masse, et j'ai ouïe dire que vous étiez très puissant. M'accorderiez vous cette faveur ? De plus, venez vous pas de dire que vous vous ennuyer ?"