'la longueur de votre message dépasse la limite autorisé'' je fais un double post :p
Histoire
Un ciel de feu. Une nuit de pleine lune. Les crépitements ardants des flammes troublent la tranquilité du monde de Nyx, déesse incontesté et personnification même de la Nuit. La scène se passe dans un pays autre de celui des ninjas. Le paysage n'est pas courant. Une fôret, un bûcher déjà sombré dans un brasier total, sur lequel se tient une silouette manifestement féminine lancant des bribes de ce qui pourrait être des cris de douleur, comtemplés par la face circulaire et froide de l'astre de la nuit, ainsi que par deux autres être antropomorphe. L'un est grand, l'autre petit, l'un adulte, l'autre enfant. Le plus grand tient une croix dans sa main droite, le plus petit tient quant à lui la main gauche de l'autre. Des ricanement léger se font presque entendre, presque oubliés, couverts par les appels de douleur de la femme. La face de l'homme, marqué par une balafre sur toute sa longueur, esquisse un large sourire, tandis que ses yeux sont grand ouverts, comme pour ne pas perdre une seul précieuse seconde de ce spectacle macabre. Celle de l'enfant, elle, est presque absente; Taciturne, morne, froid, blasé, l'enfant regarde la vision de mort d'un air détaché, presque en s'ennuyant. La scène fini, l'homme qui semble être manifestement le tuteur de l'enfant, met la main sur l'épaule de celui-çi, en l'accompagnant à la lisière des bois, laissant les cendres agonisantes de la femme au sol, parmis le mélange de glaise et de poussière. Voici à quoi ressembler la dernière vision de la femme, amante de l'homme et mère de l'enfant. Les deux protagonistes marchent, marchent, s'arrêtent. Ils s'arrête devant une demeure de Dieu, une église. Ils y rentrent. Voici leur triste domicile. L'homme pose sa croix sur un banc, enfile un chapelet autour de son cou, et commence à frapper un mannequin de chiffon avec la grâce d'un cygne et la puissance d'un lion. Le mannequin s'efondre, se perce, se déchire, sous les coups de l'homme; celui-çi regarde son fils d'un air amusé, une lueur malicieuse dans l'oeil, l'air de dire ' toi aussi, mon fils...' Ensuite, c'est le trou noir. Le vide complet, l'absence de souvenir, le néant. Je me souviens juste que la même semaine, Le père partit, laissant le fils seul. Je sais que l'enfant s'entraina de jour comme de nuit au taijutsu, chose que son père maitrisait parfaitement bien, avec une puissance inouïe. l'enfant s'exercait donc, mais en vain. Il n'était pas fait pour ce genre de chose. Alors, pour compenser ce manque, il s'instuit. Il forgeat sa propre force intellectuelle, psychique, mentale et morale. Et cela continuait, et continuait, pendant deux longues années de solitude, et de lutte acharné. Ces années passés, l'homme revint chez lui. Pris son fils dans ses bras, et l'emmenat ensuite dehors, et le rencontrat dans un duel. Au début, l'enfant était en mauvaise posture. Mais, au bout d'un moment, celui-çi gagnat le combat, et partis, laissant derrière lui une carcasse de chair et d'os broyés, laisser à son sort comme pauvre chair qu'elle était. Voilà ce qui est réelement important. Et, cette enfant, c'est moi.
Test RP: je mets seulement les passage les plus important, ceux à la compréhension de l'histoire.
Passage 1:
Alors que le bûcher se consume, l'Homme, tout en regardant la scène, s'adresse à son fils, de ces paroles effrayantes
-"Vois tu, fils, ta mère, ta donneuse de vie était une sorcière. Elle osait controler les éléments que seul Dieu peut contrôler...Durant ma jeunesse dans un autre pays, j'y ai vu de nombreuses personnes en faire de même. Des 'ninjas', êtres provocateur et fou, pensant que la maitrise de ce qu'ils appellent 'Ninjutsu' les sauvra de la colère de Dieu pour les avoir utilisés... Mon fils, sache le bien, seul la force brut, le 'taijutsu' est autorisé. Dieu nous a fait don de notre force, afin de pouvoir l'utiliser et éliminer le maximum de pêcheur grâce à son pouvoir destructeur. Un jour, toi aussi, tu sera aussi fort que moi dans cette maitrise...Et si ce n'est pas le cas, tu rejoindra ta mère dans les enfers..."
L'enfant ne bouge même pas, n'esquisse pas un geste, il est calme, serain, posé, comme si le discours de son père ne le perturbais pas...
-"Y'a vraiment pas de quoi s'affoler, je suis sur que je serai le meilleur en cette dicsipline. Et, le jour de mon apogée, je tuerais le maximum de pêcheur..."
-"Voilà un raisonnement qui me plait...Rentrons maintenant...Ne comtemplons pas une minute de plus cette sorcière..."
Passage 2:
A l'arrivée de son père qu'il n'avait pas vu depuis deux ans, Nathaniel eût un frisson. Il avait peur de sa réaction. Peur de sa réaction envers le fait que Nathaniel avait échoué a la maitrise du Taijutsu... Son père le pris dans ses bras, et l'emmenat dehors, sur un terrain dégagé, afin de faire un combat afin d'estimer les compétance de son fils.
Tu es près mon fils...?
Nathaniel se contentat de baisser les yeux.
Alors, en avant !
L'homme se précipitat vers son fils, lui administrant diverse prises douloureuses, sans que Nathaniel ne se défende, se qui intriguat le père...
Pourquoi ne te défends tu pas ? pourquoi ne m'inflige tu pas de coups ?
Il reculat de quelques mètres
Comprend tu... l'importance de ta force ? L'importance qu'elle aura dans ta vie ? Regarde, ma cicatrice ! Tu t'es toujours demandé pourquoi je l'avais, n'est-ce pas...? C'est ton grand-père qui me l'a infligé, à l'époque où j'étais à ta place et lui à la mienne ! J'ai tout de suite compris qu'être faible ne m'apporterais rien...Maintenant, montre moi le fruit de ton entrainement pendant mes deux années d'absence !!
Nathaniel regardat le sol, serrant son poings. Il regardat son père, le regard noir et criat
Tu es vraiment un idiot ! La force brut de mène à rien...Comparé à celle de l'esprit !
Nathaniel exécutat des signes des mains Mokuton,
Shichuurou no Jutsu !!
Une prison de bois emprisonnat l'homme, qui était abasourdit par le discours de son fils et par sa technique.
Si Dieu nous a donné le moyen de maitriser le Ninjutsu, c'est pour que l'on s'en serve afin d'éliminer des êtres faibles d'esprit comme toi ! Toi, tu en es au stade de l'humain terre à terre, moi, j'ai ateint l'érudition ! Je suis Puissant, tu es faible, et maintenant, vois où ton imbécilité ainsi que ton manque d'ouverture d'esprit te mène ! Droit...a la mort !!
Dès l'or que l'enfant fini ses paroles, il fermat le poings, resserant ainsi la prison de bois sur son père, le broyant dans des cris de douleur atroce...
Passage 3:
Nathaniel est allongé sur un divan. Un homme à côté de lui note ce qui lui dit. Un docteur surement, un psychiatre, même.
-"Voilà. Voici mon Histoire".
Nathaniel, se relevat et s'assie sur le divan. regardant le Psy, et attendant patiemment son diagnostic.
-"J'en conclue, monsieur Von Croft, à un traumatisme dut à la mort de votre mère, qui s'est éveillé à la vue de votre père, engendrant ainsi un excès de violence, mais j'ai une question, êtes vous sur d'avoir fait tout cela ? Avez vous vraiment tué votre père ? Je veut dire, Manipuler le bois, tout comme les autres éléments, c'est impossible, soyons sérieux...! "
-"C'est fort probable, docteur..." Dit Nathaniel en baissant les yeux.
-"Si vous acceptez l'idée que c'est impossible, votre thérapie avancera plus vite ! Pour ce qui est des excès de violence, il faut que vous vous fassiez à l'idée que votre mère est décédé, mais pas par votre faute. Vous devez vous rendre à cette évidence."
Nathaniel eut un léger sourire, il se levat brutalement, le docteur en fis de même.
-"Comment puis-je vous remercier, Docteur ? Je sais, je vais vous accordez la délivrance charnel..."
Le psy eut un étonnement, et fut dubitatif
-"La délivrance Charnel ? Que...Qu'entendez vous par là ?"
-"C'est très simple docteur..."
Nathaniel mis son index dans sa bouche, le mouillat avec la langue, et le ressortit, un filet de bave collé à celui ci, ce qui répugnat le Psy.
-"Mizuruki No Mai"
Aussitôt, le filet de bave se transfoma en glace, et Nathaniel plantas son index dans la gorge du Psy, qui eut un gargouillement de sang
-"Chuuut... Votre délivrance est là...Vous pouvez partir en paix..."
Dit Nathaniel en enlevant son doigt de la gorge transpercés du médecin, tout en sortant de la pièce.
Soyez indulgent sur l'orthographe et la syntaxe, il est 5h40 du matin, j'ai un peu la tête dans les bras de Morphée ^^'